Recherche.
Recherche.
Recherche.
Schiaparelli a ouvert la Fashion Week haute couture automne-hiver 2025/2026 à Paris avec une collection à la fois sombre et symbolique. Cette saison, Daniel Roseberry fouille les archives de l’entre-deux-guerres, époque où Elsa Schiaparelli fuyait Paris pour New York en 1940, et imagine une capsule temporelle en noir et gris, inspirée des photos d’époque. Les silhouettes, dramatiques et surréalistes, mêlent épaules accentuées, broderies célestes et détails artisanaux à l’instar de l’emblématique motif oculaire « Eyes Wide Open ».
Pour sa ligne printemps-été 2026, AMBUSH dévoile « Tribe on the Move », une ode au funk japonais des années 70 et à la liberté en mouvement. Silhouettes rétro, pantalons larges et superpositions traduisent l’esprit nomade et sans frontières de la collection. Les teintes terreuses, bleus ciel et imprimés animaliers se mêlent à des accessoires totem au fort pouvoir symbolique.
Vendredi 4 juillet, jour de fête nationale aux États-Unis, Bad Bunny a dévoilé le clip de « NUEVAYoL », l’un des morceaux phares de son album « Debí Tirar Más Fotos ». Véritable hommage à l’identité nuyoricaine - désignant la diaspora portoricaine vivant à New York - la vidéo célèbre les communautés issues des immigrations. L’ambiance festive d’une quinceañera laisse place à une scène marquante montrant le chanteur hisser le drapeau portoricain sur la Statue de la Liberté, en écho à l’acte de l’activiste Tito Kayak qui planta le drapeau sur la couronne de la statue à la fin des années 2000.
Jusqu’au 2 août, la maison Barrie, l’une des plus anciennes manufactures de tricot en cachemire d’Écosse, consacre un pop-up à son vestiaire masculin au 23 rue Cambon, à Paris. Pour l’hiver 2025, le label acquis par Chanel en 2012 et prisée par Sofia Coppola – la réalisatrice a signé une capsule en novembre 2023 – revisite ses classiques en puisant dans la nature brute de la campagne écossaise.
À l’occasion des rencontres d’Arles, coup de projecteurs sur les talents émergents de la photographie. Le prix Oulalarles revient pour une cinquième édition, toujours fidèle à son approche libre et démocratique. Chacun·e est invité·e à participer en soumettant un cliché capturé par son objectif. Les photographies seront par la suite imprimées et distribuées gratuitement sous forme de cartes postales, à travers la ville d’Arles.
Mini jupe, mini bra, maxi aura. Présentée à Paris ce dimanche 6 juillet, la collection printemps-été 2026 de Patou, intitulée « JOY », célèbre une élégance affûtée et une sensualité urbaine. Guillaume Henry, le directeur artistique de la maison, compose cette saison un vestiaire fait de contrastes : taffetas froissé, dentelles légères, tailleurs structurés et éclats argentés, sur les cols rigides de vestes portés avec des mini-robes.
Issey Miyake et Camper dévoilent « Peu Form », une ligne de chaussures née leur première collaboration. Imaginée par Satoshi Kondo, le directeur artistique d’Issey Miyake, cette collection allie le design organique de la maison japonaise à la vision innovante de Camper. Inspiré du concept « a piece of cloth », chaque modèle enveloppe le pied avec souplesse et légèreté, à la manière d’un vêtement drapé sur le corps.
De retour chez Celine après y avoir travaillé sous l’égide de la légendaire Phoebe Philo, le designer américain de 44 ans Michael Rider, présentait son tout premier défilé pour la maison ce dimanche. Nommé directeur artistique en octobre dernier, il a dévoilé une collection déjà largement saluée par la critique, tirant habilement un trait d’union entre le Celine de Phoebe Philo et celui d’Hedi Slimane, son prédécesseur.
Collaborateur sur le dernier numéro d’Antidote, pour lequel il a réalisé les graffitis de notre série mode avec la Boss Lady Theodora, l’artiste @garyintox explore le graffiti depuis 1998. Alors en classe de 5ème, sa curiosité vis-à-vis de cette pratique artistique est attisée par un camarade d’internat venu de Rome. Autodidacte, il intègre un groupe de graffeurs prolifique et a fait ses armes, bombes de peinture à la main, sur les autoroutes, les trains ou encore dans le métro, porté par un goût du défi et de la liberté qui traverse encore son œuvre. Influencé par tout ce qui l’entoure, sans style figé, il développe un univers explosif et vibrant, où la couleur percute et domine.
OBOY signe son grand retour avec « Saint Laurent », un titre où il convie SCH pour un featuring calibré entre luxe, vitesse et sentiments vénéneux. Figure incontournable de la trap française, OBOY continue de creuser sa veine sombre et mélodique, tandis que le rappeur marseillais SCH, amène son storytelling unique. Ensemble, ils déroulent un scénario à la Bonnie & Clyde version cabriolet et diamants. Un nouveau banger qui respire le succès… et le danger.
C’est d’ores et déjà la collaboration de l’été. Premier artiste français à imaginer une pièce pour Nike, le rappeur Tiakola dévoile une réédition de l’emblématique maillot Nike Total 90. Disponible à partir du 11 juillet, cette pièce inédite, réversible et à manches longues, se pare d’un badge personnalisé « BDLM x Total90 ». L’occasion pour l’artiste qui se produira ce samedi 5 juillet au festival @yardland_ d’amener encore plus loin son projet créatif « Bienvenue Dans Le Milieu », qui encourage la nouvelle génération de créatif·ve·s à faire entendre leur voix.
De Tokyo à la Central Saint Martins où il a fait ses études, Yu Hamana mêle héritage artistique et storytelling textile. Inspiré par l’animisme japonais et la poésie de Miyazaki, il imagine des pièces hybrides où streetwear et nature cohabitent. Ses silhouettes, mêlant inspirations militaires, couleurs pastels et formes organiques, racontent un monde où l’on peut se fondre tout en se protégeant.
Abra fait monter la température et embrasse l’ambiance caniculaire depuis les bords de mer. Avec sa nouvelle campagne « The Poster », le label s’octroie une escapade sur les côtes italiennes. La torpeur étouffante des villes laissent ainsi place aux couchers de soleil et dresse une carte postale à l’esprit vintage. À cette occasion, Abra fait appel à l’artiste @rachelhr. Sa maîtrise du collage, combinée aux clichés de la photographe Alessia Gunawan (@alygunawan), donne naissance à une imagerie sensuelle et solaire, où s’invitent les silhouettes de surfeur·euse·s et de palmiers.