[vc_row seperator_indeed_locker= » » lk_t= »ism_template_1″ lk_io= »default » lk_dm= »0″ lk_thm= »0″ lk_tuo= »0″ lk_dt= » « ][vc_column][vc_empty_space height= »10″][vc_column_text el_class= »legende »]Texte : Naomi Clément.
16/11/2018[/vc_column_text][indeed-social-media sm_list= »fb,tw,pt,tbr » template= »ism_template_10″ box_align= »center » disable_mobile= »0″ print_total_shares= »0″ display_tc_label= »0″ display_tc_sublabel= »0″ tc_theme= »light »][/vc_column][/vc_row][vc_row seperator_indeed_locker= » » lk_t= »ism_template_1″ lk_io= »default » lk_dm= »0″ lk_thm= »0″ lk_tuo= »0″ lk_dt= » « ][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text el_class= »chapo »]Au programme de cette semaine, un melting pot de sonorités, allant du hip-hop infusé à la funk d’Anderson .Paak à l’inquiétante synthwave de Perturbator, en passant par la disco-pop de Corine.[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_empty_space][vc_column_text el_class= »intertitre »]Sur son troisième album solo, Anderson .Paak réunit la crème du hip-hop US[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Annoncé par le réjouissant « Tints », dont nous vous parlions la semaine dernière, le nouveau long format d’Anderson .Paak est arrivé. Baptisé Oxnard, il succède aux albums Venice (2014) et Malibu (2016), qui avaient propulsé le chanteur, batteur, rappeur et producteur californien sous le feu des projecteurs (Malibu, sur lequel on retrouvait notamment Schoolboy Q et Talib Kweli, a été nommé dans la catégorie « Best Urban Contemporary Album » aux Grammy Awards 2017).
Paru ce 16 novembre, Oxnard, dont le nom fait référence à la ville natale de l’artiste, précise un peu plus la musique, riche et hybride, d’Anderson .Paak, qui s’inscrit à la croisée des genres entre hip-hop, funk et soul. Produit par l’iconique Dr. Dre, ce disque réunit également quelques-uns des plus grands noms de la scène rap américaine, à l’instar de Snoop Dogg, J. Cole, Kendrick Lamar ou encore Pusha T. À savourer juste ici.[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_video link= »https://www.youtube.com/watch?v=u749Hi0gDVM »][vc_empty_space][vc_column_text el_class= »intertitre »]Mahalia offre l’envoûtant clip de « One Night Only »[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Un an après avoir été révélée grâce à son titre « Sober », qu’elle avait notamment interprété dans le studio monochrome de COLORS, Mahalia dévoilait en septembre dernier Seasons, un nouvel EP salué par la critique. Parmi les six titres de ce projet, on retrouvait l’enivrant « Surprise Me », le joyeux « Honeymoon », mais aussi l’inspirant « One Night Only ».
Retraçant la relation d’une nuit vécue entre une femme et un homme, cette chanson, écrite en collaboration avec le chanteur et rappeur anglais Kojey Radical, se pare à présent d’un clip qui se lit comme une véritable ode aux femmes. On y découvre Mahalia, entourée de quelques-unes de ses plus fidèles amies, faire face à un Kojey Radical qui se retrouve peu à peu esseulé, comme dos au mur. Interrogée par le magazine The Fader, la chanteuse de 20 ans expliquait : « C’est le clip que je préfère jusqu’ici. Je suis tellement heureuse d’avoir pu travailler avec Kojey sur ce titre ! « One Night Only » est un morceau très spécial pour moi, pour le clip je me devais d’inclure quelques-unes de mes amies proches. J’espère que vous l���apprécierez autant que moi ! »[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_video link= »https://www.youtube.com/watch?v=Zy0eMa29iHw »][vc_empty_space][vc_column_text el_class= »intertitre »]Sur son nouvel album, A2H délivre sa vision singulière de L’Amour[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Un an après son projet Summer Stories Kushtape, Vol. 3, sur lequel on retrouvait notamment le morceau « De juillet à septembre », A2H est de retour. Attendu au tournant par ses fans, le rappeur de Melun, actif depuis le début des années 2010, revient en effet avec son nouvel album : Amour.
Composé de 18 titres et de quelques collaborations, dont une avec son comparse Nelick, ce nouveau projet réunit plusieurs singles forts dont « Blues », « Nudes », « SDARM », « Cachecache » et « Moitié Moitié », dont A2H a récemment dévoilé le clip à l’ambiance aussi cru que romantique.[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_video link= »https://www.youtube.com/watch?v=AvJa1grl20k »][vc_empty_space][vc_column_text el_class= »intertitre »]Un air de fête, le premier album de Corine, est une invitation au lâcher-prise[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Corine fascine autant qu’elle intrigue. Son personnage à la crinière péroxydée, parfois considéré comme le pendant féminin de Philippe Katerine, détone dans le paysage de la musique francophone ; et sa musique pop et sucrée, qui ravive avec brio la flamme de la disco, flirte continuellement avec l’autodérision. Pourtant, c’est bien au premier degré que cette fan de Donna Summer et des Rita Mitsouko, remarquée pour son EP Fille de ta région (Vol. 2) en 2017, prône l’œcuménisme et l’affirmation de soi. La preuve avec son tout premier album Un air de fête, paru ce vendredi 16 novembre, dont les titres « Première traversée » ou « Envole toi » nous encouragent au lâcher-prise total.
« L’esprit Corine, c’est effectivement retrouver une certaine naïveté, l’innocence et aller au bout de ses idées sans tabou », expliquait-elle dans un entretien accordé au Bonbon l’an passé. « On se moque aujourd’hui des hits du Top 50 [des années 1980, ndlr], mais finalement on envie un peu secrètement la légèreté d’approche de ces artistes. »[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_video link= »https://www.youtube.com/watch?v=ISCHgSJSY58″][vc_empty_space][vc_column_text el_class= »intertitre »]Perturbator signe une double et osbcure compilation[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Remarqué en 2014 pour son titre « Future Club », James Kent, alias Perturbator, est à l’origine d’une synthwave aussi sombre que percutante, à l’ambiance bien souvent oppressante. Après une série de projets foisonnante, dont quatre albums, le producteur parisien vient d’offrir deux nouvelles compilations : B-sides and Remixes, Vol. I, disponible depuis le 12 novembre dernier, et B-sides and Remixes, Vol. II, sorti ce vendredi. Un double projet électrique, qui nous invite à nous enfoncer toujours plus profondément dans l’univers inquiétant de l’artiste français.[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_raw_js]JTNDY2VudGVyJTNFJTNDaWZyYW1lJTIwc3JjJTNEJTIyaHR0cHMlM0ElMkYlMkZlbWJlZC5zcG90aWZ5LmNvbSUyRiUzRnVyaSUzRHNwb3RpZnklMjUzQWFsYnVtJTI1M0EzY0FnTHh1NmNzZDJXdVd0aU5VM3MxJTIyJTIwd2lkdGglM0QlMjI5MDAlMjIlMjBoZWlnaHQlM0QlMjIzODAlMjIlMjBmcmFtZWJvcmRlciUzRCUyMjAlMjIlMjBhbGxvd3RyYW5zcGFyZW5jeSUzRCUyMnRydWUlMjIlM0UlM0MlMkZpZnJhbWUlM0UlM0NjZW50ZXIlMkYlM0UlMEE=[/vc_raw_js][vc_empty_space][vc_column_text el_class= »intertitre »]Leikeli47 affirme son rap incisif avec Acrylic, son nouvel album[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Elle nous avait séduits en 2016 avec « Money », un titre entêtant à travers lequel elle imposait un flow dévastateur. Leikeli47, qui a cette année participé à la bande originale de la série Insecure d’Issa Rae, est maintenant de retour avec Acrylic, un nouvel album paru ce 15 novembre.
Composé de 19 pistes, cet opus nous invite à sauter les deux pieds joints dans l’univers de la mystérieuse rappeuse masquée, qui revendique ici l’indépendance des femmes (« No Reload ») et revient sur son afro-descendance (« Roll Call »). « Acrylic est une invitation à entrer dans mon monde », expliquait la New Yorkaise dans un communiqué. « Une invitation à venir marcher sur nos trottoirs. Dans nos campus. C’est ghetto, c’est justifié, c’est fun ; et j’y parle de mes histoires personnelles. »[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_video link= » https://www.youtube.com/watch?v=xI8w-h-HCAg »][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row seperator_indeed_locker= » » lk_t= »ism_template_1″ lk_io= »default » lk_dm= »0″ lk_thm= »0″ lk_tuo= »0″ lk_dt= » » visibility= »hidden-phone » el_class= »alireaussi postalireaussi »][vc_column][vc_column_text]
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Muddy Monk, l’Helvète underground de la chanson francophone
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