Comment Matrix a bouleversé la mode ?

Alors que le tournage d’un quatrième volet débutera en février et qu’un cinquième serait en préparation, la trilogie de science-fiction culte qui fête cette année son vingtième anniversaire n’en finit plus d’étendre son influence sur la mode.

Pourquoi l’esthétique gothique est de retour

Issu du Moyen Âge, réhabilité au XIXème par les Romantiques puis dans les années 80, le gothique est aujourd’hui décloisonné. Hybride, son esthétique revient en force depuis les années 2010, au point d’être devenue mainstream. Un engouement qui met en évidence la manière dont la culture métabolise les angoisses et la violence de nos sociétés.

Comment la mode fétichiste brise les tabous liés au genre et à la sexualité

Longtemps marginalisé, le fetishwear s’est inscrit ces dernières années comme l’une des tendances les plus marquantes du monde de la mode, au point d’infiltrer le marché grand public. Au-delà de sa dimension esthétique, ce mouvement est aujourd’hui porté par une génération de designers qui veut nous libérer de nos tabous sexuels.

Pourquoi la mode est-elle obsédée par les papas ?

Dans une industrie pourtant habituée à faire du rêve son quotidien, c’est aujourd’hui le quotidien que la mode rêve. L’expression du nouveau cool résiderait dans la banalité des multiples facettes d’un M. Tout-le-monde revisitées par les griffes les plus regardées du moment.

C’est quoi être jeune créateur aujourd’hui à Paris ?

Tout le monde n’a que ce mot à la bouche : le jeune créateur serait le nouveau protagoniste phare d’une industrie mode en pleine mutation. Mais concrètement, à quoi ressemble le quotidien d’un designer anonyme (ou presque) qui se lance dans la jungle du prêt-à-porter ? Entre grosses galères et PME prospère, focus sur une génération qui a tout à donner.

Pourquoi la mode s’est-elle délocalisée à Los Angeles ?

Exit New York, la Cité des Anges est la nouvelle oasis de la mode, attirant créateurs indépendants, mannequins en vogue et blogueurs influents. Garante d’un cool inimitable, Los Angeles serait le nouveau terrain de jeu d’une “slow fashion” plus pragmatique, plus éthique et surtout moins élitiste.