Une décision qui intervient alors que le phénomène reste massif : files d’attente interminables, achats multiples pour “tomber sur le bon modèle”, et un marché de revente devenu presque plus important que le produit lui-même
Ce passage du jouet à Hollywood met aussi en lumière les angles morts du phénomène. L’économie du blind box repose sur l’accumulation, le plastique en masse, la rareté artificielle et des volumes de production difficilement conciliables avec les urgences écologiques actuelles. L’adaptation risque donc de prolonger un modèle très lucratif… et très polluant.
Sony parie que le cinéma saura relancer l’histoire au moment où la frénésie commençait à tourner en boucle. Reste à voir si le récit dépassera enfin l’objet, ou s’il prolongera simplement la logique du « toujours plus ».