Recherche.
Recherche.
Recherche.

Les photographes Ren Hang et Coco Capitán réunis dans une double exposition à Paris

[vc_row][vc_column][vc_empty_space height= »10″][vc_column_text el_class= »legende »]Photo : Ren Hang.[/vc_column_text][indeed-social-media sm_list= »fb,tw,pt,tbr » template= »ism_template_10″ box_align= »center » disable_mobile= »0″ print_total_shares= »0″ display_tc_label= »0″ display_tc_sublabel= »0″ tc_theme= »light »][/vc_column][/vc_row][vc_row seperator_indeed_locker= » » lk_t= »ism_template_1″ lk_io= »default » lk_dm= »0″ lk_thm= »0″ lk_tuo= »0″ lk_dt= » « ][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text el_class= »chapo »]La Maison Européenne de la Photographie (MEP) met à l’honneur le photographe chinois Ren Hang, qui avait réalisé tous les shootings du numéro Antidote : Freedom, en parallèle d’une deuxième exposition dédiée à la jeune artiste prodige Coco Capitán.[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]La MEP vient d’ouvrir l’exposition « Love, Ren Hang », présentant l’œuvre du photographe chinois essentiellement composée de nus et de portraits, qui se tiendra jusqu’au 26 mai prochain. L’artiste, décédé prématurément en 2017 et considéré comme l’un des plus influents de sa génération, y est mis à l’honneur à travers une sélection de 150 photographies, dont certaines avaient été prises pour le numéro hiver 2016-2017 d’Antidote : Freedom.

Seul ou accompagné, debout, à l’endroit ou à l’envers, le corps est l’un de ses principaux sujets. Objet de jeu et de fascination, Ren Hang le met en scène dans toutes les positions, parfois vêtu, souvent déshabillé. Qualifiée de pornographique par les autorités chinoises qui l’ont censuré à maintes reprises, son œuvre constitue avant tout une ode à la liberté. Avec son travail, le photographe s’inscrit en effet dans la lignée du « réalisme cynique », un mouvement artistique chinois issu des manifestations qui secouent la place Tian’anmen de Pékin en 1989 quand il n’a que deux ans. L’exposition est également complétée par les bouleversants écrits dans lesquels Ren Hang se livre sur la dépression dont il souffrait, l’ayant acculé au suicide. Comme ses photographies, ils sont remplis d’une poésie viscérale.[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image= »43960″][vc_column_text el_class= »legende »]Photo : Ren Hang.[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text el_class= »intertitre »]Coco Capitán : de la mode au musée[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]L’œuvre de Coco Capitán allie elle aussi le texte à l’image, comme le révèle l’exposition que lui dédie la MEP en parallèle – la première qui lui soit consacrée par un musée, alors qu’elle n’a que 26 ans. L’artiste pluridisciplinaire (photographie, peinture, écriture, performance…) originaire de Séville, en Espagne, y présente ses clichés ainsi que ses plus célèbres aphorismes, qu’elle distille régulièrement sur son compte Instagram.

C’est d’ailleurs grâce à lui qu’Alessandro Michele, le directeur artistique de Gucci, l’avait repérée, avant de lui confier la réalisation du lookbook homme printemps-été 2015 de la maison italienne. Il lui a ensuite demandé de sérigraphier des T-shirts, qu’elle a recouvert de sa prose : « I want to go back to believing a story », « Common sense is not that common »… Plébiscitée par le monde de la mode (elle a également collaboré avec Maison Martin Margiela, Paco Rabanne, A.P.C. et de nombreuses publications), cette exposition marque une nouvelle étape pour Coco Capitán : le début d’une reconnaissance institutionnelle, l’imposant un peu plus comme l’une des artistes incontournables de la génération Y.[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image= »43961″][vc_column_text el_class= »legende »]Photo : Coco Capitán.[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text el_class= »legende »]Les expositions « Love, Ren Hang » et « Coco Capitán busy living everything with everyone, everywhere, all of the time » se tiennent du 6 mars au 26 mai 2019, à la Maison Européenne de la Photographie, 5/7 Rue de Fourcy, Paris 4.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row seperator_indeed_locker= » » lk_t= »ism_template_1″ lk_io= »default » lk_dm= »0″ lk_thm= »0″ lk_tuo= »0″ lk_dt= »  » visibility= »hidden-phone » el_class= »alireaussi postalireaussi »][vc_column][vc_column_text]

À lire aussi :

[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row seperator_indeed_locker= » » lk_t= »ism_template_1″ lk_io= »default » lk_dm= »0″ lk_thm= »0″ lk_tuo= »0″ lk_dt= »  » visibility= »hidden-phone » el_class= »alireaussi postalireaussi »][vc_column width= »1/3″ css= ».vc_custom_1460471630618{padding-right: 30px !important;padding-left: 30px !important;} »][vc_single_image image= »43203″ alignment= »center » onclick= »custom_link » link= »https://magazineantidote.com/mode/survival-serie-mode-davit-giorgadze-antidote/ »][vc_empty_space height= »10px »][vc_column_text]Survival : la première série mode de Davit Giorgadze pour Antidote[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/3″ css= ».vc_custom_1460471643626{padding-right: 30px !important;padding-left: 30px !important;} »][vc_single_image image= »43081″ alignment= »center » onclick= »custom_link » link= »http://magazineantidote.bigcartel.com »][vc_empty_space height= »10px »][vc_column_text]Commandez SURVIVAL, le nouveau numéro d’Antidote au prix de 15€[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/3″ css= ».vc_custom_1460471621891{padding-right: 30px !important;padding-left: 30px !important;} »][vc_single_image image= »43263″ alignment= »center » onclick= »custom_link » link= »https://magazineantidote.com/mode/pourquoi-mode-passionne-camp/ »][vc_empty_space height= »10px »][vc_column_text]

Pourquoi la mode se passionne pour le « camp »

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row seperator_indeed_locker= » » lk_t= »ism_template_1″ lk_io= »default » lk_dm= »0″ lk_thm= »0″ lk_tuo= »0″ lk_dt= »  » el_class= »postalireaussi »][vc_column][vc_empty_space height= »70px »][ess_grid alias= »antidote-home2″][/vc_column][/vc_row]