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« Douleur et Gloire » : le nouveau film très introspectif de Pedro Almodóvar

[vc_row][vc_column][vc_empty_space height= »10″][vc_column_text el_class= »legende »]Photo : Antonio Banderas dans Douleur et Gloire.
17/05/2019[/vc_column_text][indeed-social-media sm_list= »fb,tw,pt,tbr » template= »ism_template_10″ box_align= »center » disable_mobile= »0″ print_total_shares= »0″ display_tc_label= »0″ display_tc_sublabel= »0″ tc_theme= »light »][/vc_column][/vc_row][vc_row seperator_indeed_locker= » » lk_t= »ism_template_1″ lk_io= »default » lk_dm= »0″ lk_thm= »0″ lk_tuo= »0″ lk_dt= » « ][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text el_class= »chapo »]

Le nouveau long métrage du réalisateur espagnol sort en salle ce vendredi et sera présenté à Cannes ce soir.

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« Douleur et Gloire est-il un film basé sur ma vie ? Non, et oui, absolument ». Ainsi s’ouvre la bande-annonce du dernier long métrage du réalisateur Pedro Almodóvar, présenté ce vendredi 17 mai au festival de Cannes, conjointement à sa sortie en salle. Une autofiction dans laquelle Antonio Banderas – qui tourne pour la huitième fois avec Almodóvar – interprète Salvador Mallo : un metteur en scène en panne d’inspiration, soumis aux insomnies et tourmenté par ses souffrances, tant sur le plan physique que psychique. Double à peine déguisé d’Almodóvar, sujet à la photophobie, aux migraines et au mal de dos, Salvador renoue alors avec Alberto – incarné par Asier Gómez Etxeandia -, l’acteur de son film Sabor, tourné trente-deux ans plus tôt et qui s’apprête à faire l’objet d’une projection suite à sa restauration.

Sorte de thérapie, tant pour son personnage principal que pour celui qui l’a écrit, Douleur et Gloire emmène le spectateur au cœur d’une introspection comme jamais ce ne fut le cas dans le cinéma d’Almodóvar. Lumineux, les flashbacks nous mènent sur les traces de l’enfance de Salvador et dévoilent sa relation avec sa mère, jouée par Penélope Cruz. Résultat d’un véritable « travail de détective sur soi-même » tel que l’a déclaré le réalisateur, le film s’aventure de chaque côté de la frontière qui sépare la fiction de la réalité, pour mieux brouiller les pistes. Ainsi, Salvador arbore la même coiffure ébouriffée, porte les chaussures personnelles de celui qui l’a dirigé et habite dans un appartement qui n’est autre que la reproduction de celui de Pedro Almodóvar à Madrid. Remarquable, le stylisme, où l’on reconnaît quelques pièces Prada – marque pour laquelle il a joué les égéries en 2017 – reprend également ses propres vêtements, reproduits et ajustés.

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Porté par l’émotion contenue dans le titre Come Sinfonia de la chanteuse italienne Mina et une palette de couleurs explosives, Douleur et Gloire est le sixième film présenté par Pedro Almodóvar au festival de Cannes, qui ne l’a pourtant encore jamais récompensé d’une Palme d’or. Alors après Tout sur ma mère, Volver, Étreintes brisées, La piel que habito et Julieta, Douleur et Gloire sera-t-il le long-métrage qui le consacrera ? En Espagne, où il est sorti en avant-première le 22 mars dernier, c’est en tout cas un immense succès.

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