Comment Antidote a fêté la sortie de son nouveau numéro EXCESS au Palace
Photos : Julien Bernard. Texte : Maxime Retailleau. 03/10/2018.
Antidote a investi le plus mythique des clubs parisiens, Le Palace, avec Jardin, Myth Syzer, Gaika et Sônge, à l’occasion de la soirée de lancement de son numéro hiver 2018-2019 photographié par Xiangyu Liu.
Quel autre club mieux que Le Palace aurait pu accueillir la soirée de lancement du nouveau numéro d’Antidote : EXCESS ? La boîte parisienne, ouverte par Fabrice Emaer en 1978 avant d’être récemment reprise par Lionel Bensemoun et son équipe, a en effet hosté les fêtes les plus extravagantes du tournant de la décennie 70-80, l’élevant au rang de Studio 54 à la française où l’excès se faisait norme jusqu’à l’aube.
Vendredi dernier, Antidote conviait au sein de ses murs ébènes le rappeur londonien Gaika, pour un DJ set aux côtés de son crew suivi d’un live corrosif, durant lequel il interpréta ses meilleurs titres, de « Blasphemer » à « Crown and Key » en passant par « Bohdy Knows at 90 ». À deux heures du matin, il laissa ensuite sa place à Sônge, nouvelle figure du R’n’B français dont le showcase se révéla tout aussi dansant qu’envoûtant, emportant le dancefloor du Palace déjà plein à craquer.
Myth Syzer s’est ensuite emparé des platines pour un DJ set déchaîné, enchaînant les bangers rap tout en annonçant la sortie prochaine de son nouveau projet, Bisous Mortels, suite de son premier LP Bisous sorti en avril dernier. Enfin, le producteur techno/artiste post-punk/rappeur Lény Bernay aka Jardin a célébré la sortie de son troisième album, Épée, en donnant un dernier virage électronique à la soirée. Portfolio.
Quel autre club mieux que Le Palace aurait pu accueillir la soirée de lancement du nouveau numéro d’Antidote : EXCESS ? La boîte parisienne, ouverte par Fabrice Emaer en 1978 avant d’être récemment reprise par Lionel Bensemoun et son équipe, a en effet hosté les fêtes les plus extravagantes du tournant de la décennie 70-80, l’élevant au rang de Studio 54 à la française où l’excès se faisait norme jusqu’à l’aube.