Le tribunal correctionnel de Paris a tranché dans l’affaire de cyberharcèlement visant Thomas Jolly, survenue après les polémiques liées aux J.O. de Paris 2024. Quatre personnes ont écopé de peines d’emprisonnement de deux à quatre mois avec sursis, tandis que trois autres se sont vues infliger des amendes de 2 000 à 3 000 euros, assorties du sursis.