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Photographies : Margaret Howell
Texte : Laurence Vély
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Il y a une différence entre créer de la mode et être dans la mode. Margaret Howell, mieux que personne, illustre à quel point le gouffre peut-être profond entre ces deux ambitions. À mille lieux (mille miles devrions-nous dire) de la fast fashion et des paillettes, la créatrice anglaise réécrit à l’infini son histoire très personnelle. La trame en est un amour inconditionnel des matières nobles (laines, cachemires), des coupes au cordeau et de l’artisanat à l’ancienne dans ses usines anglaises, où chaque pièce est soigneusement réalisée à la main avant d’être lavée puis envoyée en boutique. Des boutiques justement, Margarett Howell en a, malgré sa discrétion, partout à travers le monde, notamment au Japon où la marque dénombre une centaine de points de vente. Il y a quelques mois, nous lui avions confié un appareil photo Polaroïd pour que cette grande introvertie préférant les bains de mer à l’aube dans le Suffolk anglais aux mondanités de la mode, puisse nous raconter son univers en images. Comme on pouvait s’y attendre, Margaret Howell a joué le jeu avec le sérieux d’un enfant appliqué. Elle a emmené l’appareil à Londres, où est son studio, dans la campagne anglaise et bien sûr au Japon où elle se rend deux fois par an. Elle a capturé ses sources d’inspiration et les aperçus de ce qui l’entoure au quotidien. Bienvenue dans l’univers visuel singulier et âpre de Margaret Howell.
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Démolition de l’hôtel Okura, décembre 2015
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« Les idées de Frank Gehry transformées en bâtiments, ça m’inspire »
Exposition 21.21, Tokyo.
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« Fin novembre 2015, à l’occasion d’une visite de travail à Tokyo, comme j’en fais deux fois par an. J’ai profité de deux jours libres à Hakone pour parcourir les lacs autour du sublime Mont Fuji »
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« Cette montagne magnifique est toujours impressionnante, vue depuis l’avion ou reproduite en gravure sur bois. S’en rapprocher en étant en altitude, avec la lumière changeante et les nuages en mouvement, est une expérience unique »
Les saules dépouillés, Lac Sai, au pied du mont Fuji
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« J’aime la façon dont cette ligne d’algues couleur émeraude vient s’échouer sur le bord du lac. Cela me rappelle le mouvement des cheveux dans le vent ou dans l’eau »
Le bord du lac Sai, au pied du mont Fuji
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Les nuages suspendus sur les montagnes, Lac Motosu, au pied du mont Fuji
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« Je suis toujours attirée par les littoraux et les massifs de roseaux, que ce soit au Japon ou dans le Suffolk »
Le champ des roseaux, Japon
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L’assemblage des bois flottés colorés
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Bois flotté
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Des roseaux et leurs réflexions
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L’église Saint George au soleil couchant, Burgess parc, Sud-Est de Londres
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Le soleil attrape la cheminée de The Old Baths and Wash House, Sud-Est de Londres
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_empty_space][vc_empty_space][vc_column_text]Voir aussi : Rio par Omassimo Vitali
En voir davantage : www.portraitsdevilles.fr[/vc_column_text][vc_empty_space height= »120″][ess_grid alias= »antidote »][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]