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Mini jupe, mini bra, maxi aura. Présentée à Paris ce dimanche 6 juillet, la collection printemps-été 2026 de Patou, intitulée « JOY », célèbre une élégance affûtée et une sensualité urbaine. Guillaume Henry, le directeur artistique de la maison, compose cette saison un vestiaire fait de contrastes : taffetas froissé, dentelles légères, tailleurs structurés et éclats argentés, sur les cols rigides de vestes portés avec des mini-robes.
Issey Miyake et Camper dévoilent « Peu Form », une ligne de chaussures née leur première collaboration. Imaginée par Satoshi Kondo, le directeur artistique d’Issey Miyake, cette collection allie le design organique de la maison japonaise à la vision innovante de Camper. Inspiré du concept « a piece of cloth », chaque modèle enveloppe le pied avec souplesse et légèreté, à la manière d’un vêtement drapé sur le corps.
De retour chez Celine après y avoir travaillé sous l’égide de la légendaire Phoebe Philo, le designer américain de 44 ans Michael Rider, présentait son tout premier défilé pour la maison ce dimanche. Nommé directeur artistique en octobre dernier, il a dévoilé une collection déjà largement saluée par la critique, tirant habilement un trait d’union entre le Celine de Phoebe Philo et celui d’Hedi Slimane, son prédécesseur.
Collaborateur sur le dernier numéro d’Antidote, pour lequel il a réalisé les graffitis de notre série mode avec la Boss Lady Theodora, l’artiste @garyintox explore le graffiti depuis 1998. Alors en classe de 5ème, sa curiosité vis-à-vis de cette pratique artistique est attisée par un camarade d’internat venu de Rome. Autodidacte, il intègre un groupe de graffeurs prolifique et a fait ses armes, bombes de peinture à la main, sur les autoroutes, les trains ou encore dans le métro, porté par un goût du défi et de la liberté qui traverse encore son œuvre. Influencé par tout ce qui l’entoure, sans style figé, il développe un univers explosif et vibrant, où la couleur percute et domine.
OBOY signe son grand retour avec « Saint Laurent », un titre où il convie SCH pour un featuring calibré entre luxe, vitesse et sentiments vénéneux. Figure incontournable de la trap française, OBOY continue de creuser sa veine sombre et mélodique, tandis que le rappeur marseillais SCH, amène son storytelling unique. Ensemble, ils déroulent un scénario à la Bonnie & Clyde version cabriolet et diamants. Un nouveau banger qui respire le succès… et le danger.
C’est d’ores et déjà la collaboration de l’été. Premier artiste français à imaginer une pièce pour Nike, le rappeur Tiakola dévoile une réédition de l’emblématique maillot Nike Total 90. Disponible à partir du 11 juillet, cette pièce inédite, réversible et à manches longues, se pare d’un badge personnalisé « BDLM x Total90 ». L’occasion pour l’artiste qui se produira ce samedi 5 juillet au festival @yardland_ d’amener encore plus loin son projet créatif « Bienvenue Dans Le Milieu », qui encourage la nouvelle génération de créatif·ve·s à faire entendre leur voix.
De Tokyo à la Central Saint Martins où il a fait ses études, Yu Hamana mêle héritage artistique et storytelling textile. Inspiré par l’animisme japonais et la poésie de Miyazaki, il imagine des pièces hybrides où streetwear et nature cohabitent. Ses silhouettes, mêlant inspirations militaires, couleurs pastels et formes organiques, racontent un monde où l’on peut se fondre tout en se protégeant.
Abra fait monter la température et embrasse l’ambiance caniculaire depuis les bords de mer. Avec sa nouvelle campagne « The Poster », le label s’octroie une escapade sur les côtes italiennes. La torpeur étouffante des villes laissent ainsi place aux couchers de soleil et dresse une carte postale à l’esprit vintage. À cette occasion, Abra fait appel à l’artiste @rachelhr. Sa maîtrise du collage, combinée aux clichés de la photographe Alessia Gunawan (@alygunawan), donne naissance à une imagerie sensuelle et solaire, où s’invitent les silhouettes de surfeur·euse·s et de palmiers.
Alors que tu bloques depuis quelques jours, tu as soudain L’IDÉE que tu attendais… Mais tu n’as pas ton ordinateur avec toi. Même en balade, posé·e au café du coin ou dans une file d’attente, la nouvelle application mobile Adobe Firefly te permet de donner vie aux créations les plus ambitieuses grâce à l’IA générative. Depuis ton téléphone, tu disposes de tous les outils nécessaires pour t’exprimer, tout en étant assuré·e que ton travail est automatiquement synchronisé avec ton compte Creative Cloud.
Prépare-toi à vivre un week-end de folie : Yardland revient en force à l’Hippodrome de Paris-Vincennes pour une deuxième édition qui promet d’enflammer l’été. Une line-up monumentale, des installations immersives, un food court alléchant et une avalanche de surprises… Le festival s’impose comme le rendez-vous musical et culturel à ne pas manquer. Entre vibes survoltées et esprit bienveillant, Yardland célèbre les cultures populaires dans toute leur richesse.
Ce lundi 30 juin, les onze finalistes du prix ANDAM 2025 se sont retrouvé·e·s dans les jardins du Palais-Royal. À l’issue de cette soirée, le jury, notamment composé de Sarah Andelman, Alexandre Mattiussi ou encore Carlos Nazario, a distingué quatre talents prometteurs. Grande lauréate de cette édition, Meryll Rogge s’est imposée grâce à un vestiaire audacieux, mêlant rigueur classique et liberté d’allure. Diplômée de l’Académie royale des beaux-arts d’Anvers, la créatrice belge remporte ainsi le Grand Prix de l’ANDAM.
Jusqu’au 4 juillet, l’univers fascinant de Harry Nuriev s’expose au 15 rue du Louvre, à Paris, dans un showroom présentant les pièces de décoration et de mobilier nées de sa collaboration avec l’enseigne allemande Westwing. À travers son studio Crosby Studios, le designer russe a imaginé une série de canapés, de miroirs, de lampes, de paniers pour chiens ou d’objets en marbres invariablement habillés du même damier gris et blanc. Une manière pour Harry Nuriev d’explorer la notion de « point zéro » digital, en clin d’œil au même motif servant de toile vierge sur les applications telles que Photoshop.
Après avoir cité Picasso et Cézanne, Simon Porte Jacquemus semble cette fois-ci avoir regardé du côté des tableaux de Jean-François Millet, à l’instar « Des Glaneuses ». Transcrivant la simplicité et le caractère humble induit par le travail de la terre à travers des silhouettes monacales, l’absence de fioritures et la pureté du noir et du blanc, le créateur propose également un prosaïque upgradé. Ici, fidèle à sa démarche duchampienne, Simon Porte Jacquemus transforme l’ordinaire en œuvre d’art et habille les poireaux et autres fruits et légumes ainsi que leurs cagettes de cuir, parsemant les silhouettes souvent en popeline de coton de touches colorées.