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660 millions de dollars : c’est l’amende colossale que doit aujourd’hui payer l’ONG Greenpeace, après avoir été attaquée en justice par le géant pétrolier Energy Transfer, pour avoir soutenu les mobilisations contre le Dakota Access Pipeline. Derrière cette procédure-bâillon, une volonté claire : faire taire la contestation. En réponse, l’ONG a fait appel à l’agence de communication STRIKE pour lancer une campagne visuelle puissante, baptisée « Qui va payer pour ça ? ». Photo aérienne de marée noire, ours blanc squeletique confonté à la fonte des glaces, déforestation… Les photos détourne le prix à payer par l’ONG en pointant du doigt le fait que c’est finalement le vivant qui paie le prix fort des projets pétroliers écocidaires. Face à cette décision injuste, Greenpeace a par ailleurs appelé à la mobilisation via le hashtag #TimeToResist.
Avis aux producteur·rice·s, beatmakers et musicien·ne·s : la maison Rabanne s’associe au mythique Miraval Studios pour un challenge estival autour du titre culte des années 80 « Listen To The Music » de Judy Carter. Tout l’été, un appel à candidatures invite les talents à remixer ce morceau, avec à la clé une opportunité unique : le produire au sein du célèbre studio co-fondé par Damien Quintard. Un projet en écho à l’héritage de Paco Rabanne, qui s’est notamment engagé pour la reconnaissance de la scène musicale noire française, dès le début des années 1980.
Présentée à l’Ircam, la nouvelle collection de haute couture de Kevin Germanier célèbre la joie et la lumière, entre volumes sculpturaux, imprimés audacieux et collaboration avec Hello Kitty. Animé par deux mascottes à l’effigie du célèbre chat japonais et de son acolyte Kuromi, le défilé offrait une vision ludique de la couture, à travers un savant mélange de techniques traditionnelles et d’upcycling. Des robes en ballons gonflées à bloc aux robes fantasmagoriques confectionnées à partir de bandes de plastique recyclées, en passant par la robe de mariée en papier japonais, chaque pièce s’impose par ses volumes sculpturaux, ses couleurs vives ou ses reflets scintillants.
Après avoir passé des mois à semer des indices sur les réseaux sociaux, Justin Bieber lance officiellement son label Skylrk. Couleurs bubblegum et lignes bombées sont de mise pour cette première collection. Côtés produits, on retrouve des hoodies, des tank tops ainsi que des lunettes de soleil ou des bonnets à l’instar de ceux fréquemment aperçus sur la tête du chanteur.
Ce jeudi, disiz fait son retour avec un titre très personnel. Intitulé « ton ventre », ce morceau tout en douceur explore les liens les plus essentiels de nos vies : l’amour d’une mère et d’une femme. Réalisé par Luàna Bajrami et Sandor Funtek, le clip oscille entre des instants de complicité poignants et des tableaux empreints de solitude, traduisant avec justesse l’intensité émotionnelle de la chanson.
Ensemble, Études Studio et Freitag réinterprètent le modèle F41 HAWAII FIVE-O, emblématique du label de sacs et d'accessoires suisse. Fidèles à l’engagement éco-responsable de Freitag, trois déclinaisons exclusives, ornées d'un tout nouveau logo, ont été confectionnés à partir de bâches de camion recyclées. Habillées de différentes nuances de bleu, couleur signature d’Études Studio, elles s'ornent également des étoiles caractéristiques du label parisien.
Le label londonien Mowalola traverse l’Atlantique le temps d’une collaboration inattendue avec Marc Jacobs. Disponible en édition limitée, cette capsule puise son inspiration dans la ville de New York, de sa culture du graffiti à ses emblématiques taxis jaunes. Créoles XXL, chemise loose et mini-jupes rencontrent une imagerie sexy et urbaine, en harmonie avec la frénésie de la Grosse Pomme.
Alors que Demna faisait ses adieux à Balenciaga quelques heures plus tôt, le microcosme de la mode se pressait déjà pour assister au défilé Maison Margiela Artisanal, impatient de découvrir la toute première collection imaginée par Glenn Martens. Chargé de succéder à John Galliano, dont l’ère s’est conclue en apothéose, le créateur a choisi de revenir aux fondations symboliques de la maison, en habillant notamment le visage des mannequins de masques, un accessoire emblématique depuis le tout premier défilé de Martin Margiela en 1988.
Pour présenter sa nouvelle collection printemps-été 2026, le label Namesake a choisi d’investir l’École Massillon, transformée pour l’occasion en parc aquatique. Intitulée « Innerchild », la collection puise dans les joies simples de l’enfance. Cordes, drapeaux et marinières sont revisités à travers l’approche streetwear du label taiwanais qui plébiscite une palette de bleus, de beige et de gris, tandis que les éléments de tailoring sont élargis et décontractés.
Ce mercredi, Demna dévoilait son ultime collection pour Balenciaga, après une décennie à la tête de la maison. Pour ce dernier show, le designer convoquait les archétypes qui ont façonné son passage au sein de la maison. Entre hommage, ironie et introspection, il signait une collection où chaque silhouette semblaient incarner une facette de son esthétique. Sur le podium, ses muses de toujours ont défilé une ultime fois : Isabelle Huppert, Kim Kardashian, Naomi Campbell ou encore Eliza Douglas.
En pleine tournée des festivals, Miki prend le temps de nous offrir un nouveau titre percutant. Intitulé « Particule », ce son à la mélodie pop tape en plein cœur et évoque une lente déception amoureuse. Tourné en plan-séquence, le clip qui accompagne le titre est fidèle au style de Miki qui – après le parking du Buffalo Grill – investit le parvis de Disneyland Paris pour y échanger un long baiser avec un Spiderman anonyme.
Pour sa collection Haute Couture automne-hiver 2025/2026, baptisée « Becoming », Robert Wun orchestre un défilé où les corps se dédoublent, métamorphosés par des vêtements-sculptures aux lignes acérées. Le créateur explore l’acte de s’habiller comme un rituel intime, un passage entre le réel et l’imaginaire, entre le soi et ce que l’on devient. Une rêverie fantastique nous enveloppe, donnant vie à des créatures magnifiquement terrifiantes.
De la karaoke box de G-Shock au stand Fenty permettant aux festivalier·ère·s de découvrir les produits des labels de Rihanna et de se refaire une beauté, en passant pas les ateliers d’écriture de freestyle du stand Wero : petit tour d’horizon des différents espaces du festival Yardland, complétant les trois scènes où se sont succédé·e·s les artistes internationaux·les ou émergent·e·s, du 4 au 6 juillet dernier.