Recherche.
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Notamment inspiré par le peintre Jérôme Bosch, le fondateur du label I’m Behind my Head développe un univers singulier, entre ombre et mysticisme. Basé à Paris, il se démarque par son approche artisanale, réalisant chaque pièce à la main. Entre fantasy gothique et allures de personnages de jeux vidéo, ses silhouettes narrent un conte médiéval.
Après plus d’une décennie de progression, la visibilité des personnages LGBT+ recule. Dans un moment où nos droits restent contestés et où les récits queer sont jugés “risqués”, la place accordée à nos histoires se réduit. Ce texte interroge ce mouvement et pose une question centrale : dans les rôles queer encore disponibles, quelle responsabilité portent les acteur·rice·s non queers lorsqu’ils·elles choisissent de les occuper ? Un recul inédit depuis plus de dix ans, qui n’a rien d’un hasard.
En 1991, Sinéad O'Connor refusait un Grammy pour dénoncer une industrie où le prestige comptait davantage que la vérité artistique. Geste rare : elle reste, plus de trente ans plus tard, la seule artiste à avoir décliné publiquement une victoire. Un refus qui résonne aujourd'hui dans une culture façonnée par les plateformes, les algorithmes et les stratégies de visibilité.
Une décision qui intervient alors que le phénomène reste massif : files d’attente interminables, achats multiples pour “tomber sur le bon modèle”, et un marché de revente devenu presque plus important que le produit lui-même Ce passage du jouet à Hollywood met aussi en lumière les angles morts du phénomène. L’économie du blind box repose sur l’accumulation, le plastique en masse, la rareté artificielle et des volumes de production difficilement conciliables avec les urgences écologiques actuelles. L’adaptation risque donc de prolonger un modèle très lucratif… et très polluant. Sony parie que le cinéma saura relancer l’histoire au moment où la frénésie commençait à tourner en boucle. Reste à voir si le récit dépassera enfin l’objet, ou s’il prolongera simplement la logique du « toujours plus ».
Qui n'aurait pas envie de jouer au Jenga dans sa version Bottega ? La maison italienne dévoile une édition en cuir intrecciato du célèbre jeu d'adresse, transformant un classique vendu quelques dizaines d'euros en objet de collection à 5200 euros.
En parlant de maternité comme d'un horizon naturel, Gaga remet en cause une vieille règle de l'industrie: celle qui poussait les artistes à effacer leurs envies personnelles pour préserver leur image. Aujourd'hui, les popstars revendiquent pleinement leur vie hors scène et redéfinissent la puissance autrement.
Dans « Where We Belong » (2025), Anthony Nguyen explore ce territoire où l’intime devient un miroir : nos chambres, nos coins de chaos, nos objets accumulés disent souvent plus de nous que nos mots. Ici, chacun·e se tient dans son propre foyer, un espace façonné par les passions, les obsessions, les fiertés, parfois les blessures.
Après Art Basel il y a quelques semaines, Paris accueille une nouvelle foire honorant cette fois-ci la création photographique contemporaine. Jusqu’au 16 novembre, les galeries de photos et les éditeurs de livres de photos se réunissent au Grand Palais. Pour l’occasion, Antidote a rassemblé plusieurs artistes queers exposé·es à ne pas manquer.
Ruby Rose, actrice ouvertement queer et initialement attachée au biopic Christy, accuse Sydney Sweeney d'avoir « ruiné le film ». Un clash qui dépasse la simple querelle d'ego: il révèle les tensions entre représentation LGBTQ+, image publique et politisation soudaine d'une star hollywoodienne.
Adele rejoint « Cry to Heaven », le nouveau projet cinéma de Tom Ford. Le créateur, qui revient derrière la caméra après presque dix ans d'absence, offre à la chanteuse son premier rôle d'actrice dans une adaptation baroque d'un livre d'Anne Rice et signe l'un des castings les plus inattendus du moment.
Ça vient de tomber : une semaine après le départ d'Olivier Rousteing, Balmain confie sa direction artistique à Antonin Tron, fondateur d'Atlein.